قامت حركة نداء تونس بإحياء الذكرى 16 لرحيل الزعيم الحبيب بورڨيبة بباب سويقة تحت إشراف السيد رضا بلحاج رئيس الهيئة السياسية للحركة والسيدة أنس الحطاب الأمين العام الوطني للمرأة وذلك بارجاع اللوحة التارخية لمكتب المحامي الزعيم الحبيب بورقيبة بباب سويقة.
كما أصدرت الحركة بيانا حول الذكرى السادسة عشر لوفاة الزعيم الحبيب بورقيبة بامضاء رئيس الهيئة السياسية رضا بلحاج.
Le service de prévention contre le terrorisme et la brigade de recherches et investigations du district de la garde nationale de Zaghouan ont réussi mardi 5 avril 2016 à démasquer une cellule terroriste dans la délégation d’Ennadhour du gouvernorat de Zaghouan.
Cette cellule est composée de 5 membres ayant juré allégeance à « DAESH ».Un obus datant de la deuxième guerre mondiale a été saisi. Ils ont avoué leur intention d’utiliser les charges explosives de l’obus pour attaquer des patrouilles sécuritaires et militaires. Les suspects ont été déférés à l’unité nationale de recherche en crimes terroristes à l’Aouina pour la suite de l’enquête.
Ce soir, par hasard, je suis passé par la rue Jamâa Echikh, c'est son nom, à Homet-Souk, à l’île de Djerba. Elle se trouve, comme vous le savez (bien sûr, je parle aux "Souagas", autrement les habitants de la ville) au cœur de la "Médina". Elle était sombre. Même les deux candélabres qui s'y tiennent debout manquaient d'ampoules, ou ce qu'il m'a semblé, n'ayant pas vérifié. Et même, elles étaient éteintes. Je regarde la maison de mon instituteur Feu Taïeb Ben Dâamech. Elle aussi dans l'obscurité, du moins du côté de sa façade visible. Donc, aussi bien à la rue, qu'à la maison, point de lumière. Et pourtant !
Pourtant quoi, me diriez-vous ?
Je vais vous dire.
C'est dans cette maison, qui appartenait en ces temps-là à Mr Radhi Jazi, premier pharmacien tunisien à ouvrir son officine sur l'ile des rêves, ou l'île qu'elle était en cette période... lointaine, que s'alluma la première ampoule d'électricité sur l'île de Djerba, un certain 24 décembre 1959. Pas seulement, mais aussi dans la maison à côté, propriété à l'époque de Feu Béchir Ben Hamida. Le 25 décembre 1959, c'est la délégation et les maisons des Feus Jilani et Salem Anane qui jouirent des bienfaits de cette nouvelle opportunité, avant qu'elle n'atteigne d'autres notables de la ville. Seule Mme Jeribi, propriétaire du Grand-Hôtel, refusa l'entrée de l'électricité, fournie à l'époque par une société française, la SOCOMETRA, à son établissement. Et il a fallu que naisse, ou qu'elle arrive à Djerba, la STEG en 1961 pour qu'elle accepte enfin d'être "branchée" au réseau de la lumière, et cela lui coûta les yeux de la tête: 130 dinars. Ce qui n'était pas minime. En marchant vers mon quartier, je me suis rappelé subitement de tout cela, comme pour constater que la rue qui avait vu naître l'électricité sur l'île du Lotos se trouve, 57 ans après dans l'obscurité totale. Et je me suis dit: Denya !
Ah, oui, Wallah.
Que de souvenirs je garde de cette rue et de la maison de mon instituteur préféré Si Taïeb, à laquelle, tout fier d'être l'élève du jour, chaque jour presque, je transportais en signe de récompense et de distinction sur les bras, les cahiers de classe pour les remettre à sa jeune épouse, d'une beauté sublime, qui se tenait devant la grande porte du domicile conjugal avec sa belle-mère, Khalti Kheyria à attendre le retour de son époux de l'école. Aujourd'hui, ils sont partis sous la lumière du Paradis j'espère, que, tous ils méritent. Avec eux est partie une lumière qui illuminait un coin de rue chargée d'histoire, mon histoire. Si Taïeb, fils unique, était "dhaou el houch" (la lumière de la maison, c'est de ce nom que sa maman Khalti Kheyria, l'appelait), lui qui était son rayon de soleil qu'elle avait tant chéri jusqu'à sa mort le 22 septembre 1992. Le rayon de soleil s'est éteint prématurément. Avant lui, et après lui d'autres vies se sont éteintes. Et aujourd'hui c'est la rue - sa rue - elle même qui sombre dans l'obscurité totale.
Ne vous ai-je pas dit: pourtant. Eh, oui, Pourtant !
P.S: quand il s'agit de Taïeb Ben Dâamech j'ai du mal à m'arrêter de parler. Paix à son âme. Lotfi Jeriri
Le ministre de l’Equipement, de l’Habitat et de l’Aménagement du Territoire, Mohammed Salah Arfaoui, représenté par son chef de cabinet, l’ambassadeur de France en Tunisie, François Gouyette, et le gouverneur de la ville, Fethi Bdira, ont inauguré le 5 avril 2016 le parcours réhabilité de la médina de Sousse classé comme patrimoine mondial.
Le grand poète Sghaier Oulad Ahmed vient de quitter ce bas monde emporté par une méchante maladie. Mais la poésie de Sghaier lui survivra dans le futur. Dans plusieurs siècles, on enseignera ses poèmes dans les écoles, les lycées et les universités. Son amour de la Tunisie, sa fierté d’appartenir à cette terre qu’il chérit tant, le respect qu’il voue à la femme tunisienne (les femmes de mon pays sont des femmes et demie) seront chantés plus que de son vivant. On décortiquera ses mots (j’aime mon pays comme personne, Matin et soir, avant le matin et même le dimanche), on rappellera son combat non contre la maladie qui fut héroïque, mais contre l’obscurantisme, le passéisme et le fanatisme qui fut titanesque.
Mais plus que tout on se rappellera son patriotisme qui n’a pas de prix pour lui et qui fut exemplaire.
Son ami intime Adel Haj-Salem évoque les derniers instants du poète en indiquant que deux individus qu’ils ne connaissaient pas étaient présentes dans sa chambre d’hôpital. Renseignements pris, il s’agit de deux représentants de l’Instance Vérité et Dignité venus avec deux autres restés au dehors afin de solliciter du poète qu’il dépose un dossier auprès de l’IVD pour demander un dédommagement pour les cinq années au cours desquelles il a été exclu de son emploi pour ses poèmes jugés contestataires. Le poète a refusé jusqu’au bout cette requête. Il s’est opposé même à ce qu’on lui verse les cotisations sociales pour ces cinq années afin de pouvoir avoir droit à une retraite complète. Quand on compare ce comportement à celui d’autres qui ont obtenu des dédommagements pour une somme dépassant le milliard de dinars on voit bien la différence entre celui qui a voué sa vie à son pays et les autres.
Cela n’est pas étrange quand on sait que ses derniers vers écrits la veille de son décès étaient (je traduis) :
Je n’aurais pas de tombe
Dans l’au-delà
(Dans l’autre monde)
Que ces quatre lettres (sept en français)
Tounes (Tunisie)
Ecrit à l’Hopital militaire le 04/04/2016.
Qu’Allah Tout Puissant accueille le défunt dans sa Haute Miséricorde et qu’Il accorde patience et réconfort à sa petite famille et à tous les Tunisiens (sa grande famille)
تحيي تونس اليوم الأربعاء 6 أفريل 2016 الذكرى 16 لرحيل الرئيس الأسبق الحبيب بورقيبة الذي توفي في مثل هذا اليوم من سنة 2000. و في إطار إحياء هذه الذكرى، تولى رئيس الجمهورية الباجي قائد السبسي صباح اليوم الاربعاء تدشين النصب التذكاري للزعيم الراحل أمام القصر الرئاسي بالمنستير. وقد حضر بهذه المناسبة كل من رئيس الحكومة الحبيب الصيد و رئيس مجلس نواب الشعب محمد الناصر ووزراء من الحكومة ووالي الجهة وعدد من إطارات الولاية وعدد من مكونات المجتمع المدني وممثلي الأحزاب السياسية. وقد تم بهذه المناسبة تلاوة الفاتحة على روح الفقيد.
هذا و قد أكد الباجي قائد السبسي أن التكلفة الحقيقية للتمثال لم تصل إلى 500 ألف دينار كما تم الترويج له. و أضاف والي المنستيرأن التمثال تم ترميمه بمساهمة أحباء الزعيم الراحل وبعض مكونات المجتمع المدني وتكلفته لم تصل إلى المبلغ الذي تم الحديث عنه.
التقى رئيس الحكومة السيّد الحبيب الصيد صباح اليوم الأربعاء 6 آفريل 2016 بدار الضيافة بقرطاج الرئيس الأول للمحكمة الإدارية السيّد عبد السلام مهدي ڤريسيعة.
وفي تصريح صحفي، أفاد السيّد عبد السلام مهدي ڤريسيعة أن اللقاء تطرق الى ظروف العمل بالمحكمة الادارية والسبل الكفيلة بتحسينها، مشيرا في هذا السياق الى أن رئيس الحكومة وعد بتوفير كل الامكانيات المادية اللازمة حتى تقوم المحكمة بدورها في أحسن الظروف.
واضاف الرئيس الأول للمحكمة الإدارية أنه وجد كل التشجيع والدعم من رئيس الحكومة لانجاز المهام الموكولة للمحكمة الادارية وتطوير نشاطها المستقبلي.
كما التقى السيد الحبيب الصيد رئيس الحكومة السيد فوزي بن حماد الرئيس الاول السابق للمحكمة الادارية وعبر له عن شكره وتقديره لجهوده طيلة فترة اشرافه على المحكمة الادارية.
En marge de sa visite à Moscou pour participer au forum d’affaires organisé dans le cadre de la 6ème session de la Commission mixte tuniso-russe, accompagné de Aziza Htira, PDG du Cepex, le ministre du Commerce, Mohsen Hassen, a rendu visite au marché de poissons tunisiens de son propriétaire Mehdi Dous, une des figures de proue à Moscou.
A noter que Mehdi Dous a créé son marché pour essentiellement promouvoir et commercialiser les poissons tunisiens dans la capitale russe.
L’homme d’affaires tunisien a réussi également à créer une chaine de restaurants en Russie et en France prisée et fréquentée par les plus hautes personnalités du pays. Parti dés son jeune âge pour des études à Moscou, Mehdi Dous s'y installé et avec un esprit entrepreneur a réussi à s'introduire dans les affaires et occuper au fil des années une place de choix dans les haute sphères russes en tant que patriote tunisien.
L’ancien ministre de Ben Ali et candidat aux élections présidentielles, Mondher Znaidi, est en voie de créer un nouveau parti politique de référence destourienne. Il semble prendre son temps, puisque la nouvelle formation tarde à se mettre en place.
Entretemps, il ne perd pas de temps. Question de se chercher un nom? Pas du tout; puisque ce n’est pas la priorité. Attirer des partisans parmi le paysage politique en place? C’est plus urgent semble-t-il. C’est ce qui explique la vague de démissions au sein de l’UPL (Union patriotique libre) de Slim Riahi ou du Nidaa Tounes .
Deux députés de Nidaa ont déjà démissionné de ce parti pour rejoindre Mondher Znaidi. Donc le tourisme partisan ou le nomadisme politique, c’est comme vous voulez, va reprendre de plus belle. C’est dans la réserve des « laïcs » qu’il va puiser, y compris au sein du parti le mouvement du projet de la Tunisie de Mohsen Marzouk. Au même moment le parti islamiste va conserver ses troupes. Ce qui fait sa force; c’est la cohésion des siens. Alors que l’autre camp se divise en petites chapelles. A cause de cette maladie de leadership non assouvi, le rééquilibrage du paysage politique (ce à quoi Béji Caid Essebsi s’est attelé en créant Nidaa) fera partie du passé. Alors il faut reprendre tout à zéro.
حضر وزير الدّاخليّة, الهادي مجدوب, عشيّة أمس الثلاثاء 5 آفريل 2016 جلسة عامّة عقدها مجلس نوّاب الشعب خصّصت للنظر في جملة من مشاريع القوانين، من بينها مشروع قانون يتعلق بإحداث تعاونيّتين لفائدة الأعوان التابعين لوزارة الدّاخليّة ولوزارة الشؤون المحليّة والجماعات المحليّة والمؤسّسات العموميّة ذات الصّبغة الإداريّة الخاضعة لإشرافها من غير أسلاك قوّات الأمن الدّاخلي.
وقد تمّت المصادقة على مشروع القانون المذكور بالإجماع (109 صوتا).
وقد تولى السيّد وزير الدّاخليّة عقب المصادقة على مشروع القانون الإجابة على عدد من الأسئلة الشفاهيّة التي تمّ توجيهها من طرف نوّاب الشعب وذلك على معنى الفصل 146 من أحكام النظام الدّاخلي لمجلس نوّاب الشعب.