رئيس الجمهورية الباجي قايد السبسي يشرف صباح اليوم السبت 09 أفريل 2016 على موكب إحياء ذكرى أحداث 09 أفريل 1938 بروضة الشهداء بالسيجومي ويضع إكليلا من الزهور ويتلو فاتحة الكتاب ترحما على أرواحهم الزكية.
وقد حضر الموكب رئيس الحكومة ورئيس مجلس النواب وعدد من أعضاء الحكومة والشخصيات الوطنية.
Le ramassage des ordures ménagères est fortement perturbé à Hammamet. En effet, les éboueurs ont décidé de se mettre en grève pour protester contre leurs conditions de travail. Cala a engendré des accumulations outrancières des ordures dans et autour des poubelles. Plusieurs places et carrefours se sont transformés en dépotoir public. Un paysage de désolation qui exhale des odeurs désagréables !
L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a voté, en marge de la séance plénière du vendredi 8 Avril 2016, un texte pour la création d’une commission d’enquête parlementaire dans l’affaire connue sous le nom « Panama Papers ». Le texte a été adopté avec 124 voix.
Ce vendredi 8 avril 2016, le vote a eu lieu dans le cadre d’une séance plénière. La création de ladite commission a été adoptée avec 124 voix pour et 1 voix contre.
Notons que cette affaire a fait couler beaucoup d’ancre dans le monde entier et en Tunisie.
Le gouverneur du Royaume de Saxe en Allemagne a annoncé ce vendredi 8 avril 2016 l'expulsion de 24 Tunisiens.
Il a précisé que cette décision intervient en application de l'accord entre les deux pays, qui vise à faciliter le renvoi des personnes dont la demande d'asile a été refusée.
La reconstruction de la Libye mobilisera la somme colossale de 70 milliards de dollars soit 140.000 millions de dinars tunisiens. Soit plus de quatre fois le budget de la Tunisie comme ordre de grandeur. Selon Rafaa Tabib, expert en affaires libyennes, sur Express-fm, la Tunisie est absente de ce grand marché ou tout au moins elle ne fait rien pour y figurer. Ce programme de reconstruction concerne les établissements d’enseignement et les hôpitaux principalement, et la Tunisie a toute l’expertise pour y prendre sa part, ajoute-t-il, estimant que notre pays n’a manifesté aucun intérêt à ce programme, qu’elle n’a pas non plus des plans d’avenir concernant le pays voisin, de même qu’elle ne connait pas bien les parties agissantes dans le tissu social libyen.
Il annonce que le premier responsable de ce programme (il ne donne pas son identité) qui voue du respect à l’Etat tunisien visitera bientôt la Tunisie mais personne n’a pris contact avec lui. M. Tabib fait, à mon avis, un appel du pied aux responsables tunisiens pour qu’ils fassent appel à ses services. Il a dit qu’il n’est pas intéressé par un poste officiel mais il ne dira pas non à une fonction de l’ombre. Le ministre des Affaires étrangères serait bien inspiré de l’écouter. Sa contribution peut se révéler utile, je le suppose. Raouf Ben Rejeb
La presse écrite en Tunisie vit depuis la Révolution en difficulté. On dirait que la liberté d’expression au lieu de l’épanouir l’a étouffée. Pourtant cette presse qui vécut 60 ans sous l’oppression et la censure arrivait tout de même à trouver les moyens, pas seulement de vivre, mais aussi de prospérer et de faire travailler de jeunes talents lancés sur le marché de travail, chaque année par une prestigieuse institution appelée l’IPSI. D’aucuns ont pensé qu’avec cet air de liberté qui souffla sur cette Tunisie à l’orée d’un soulèvement populaire, apporterait avec lui un renouveau, une renaissance et un épanouissement à une presse de tout temps muselée, contrôlée, limitée et assiégée par des lignes rouges. Lignes qu’elle se devait sinon de respecter, du moins de les contourner en quête d’une crédibilité auprès d’un lectorat le plus souvent ingrat et loin d’être indulgent, même s’il a fini par jouer le jeu sachant parfaitement les limites de cette presse dans un climat ambiant pour le moins oppressant. N’empêche quoique muselée, cette presse était sous Ben Ali «respectée» et crainte, courtisée même. Et avec l’ATCE (Agence Tunisienne de Communication Extérieure) créée en 1990, c’est une manne financière qui lui tomba du ciel, et qui tout en démocratisant la répartition de la publicité gouvernementale selon des critères bien définis pour faire profiter équitablement tous les titres d’un apport vital, a fini par mettre toute la presse aussi bien domestique qu’étrangère sous la coupe du régime. Et tout le monde joua le jeu. Un régime qui a neutralisé la presse, et une presse qui «vit» et qui prospère, hormis quelques titres dont les tenants, tels des Don Quichotte s’attaquant à des moulins à vent, l’ont payé cher.
Pendant les six mois qui ont suivi le 14 janvier, il y eut une floraison de titres. Pensant que la presse écrite est rentable, profitant d’un air de liberté soufflant sur une Tunisie meurtrie mais regardant l’avenir sous un angle radieux, plusieurs promoteurs se sont hasardés à investir dans un domaine qui, le plus souvent, leur échappe, sur un marché tout aussi limité qu’hostile à une presse qu’il avait longtemps boudée pour l’avoir suffisamment connue. En juin 2011, la Tunisie ne comptait pas moins de deux cents titres de journaux et magazines toutes obédiences et périodicités confondues. Aujourd’hui, ils sont à peine une quarantaine à tenir le coup.
Pourquoi la Presse écrite tunisienne en est elle arrivée là ? Une bonne question dont la réponse se perd dans les rouages d’un Etat en friche.
Outre que tous les gouvernements qui se sont succédés depuis le coup d’Etat du 14 janvier, ne voyaient pas d’un bon œil une presse libre à guetter le moindre de leurs faux pas, à dénoncer le moindre dérapage, à leur coller aux fesses et à dénoncer les dérives, l’une des premières mesures «révolutionnaires» prises par le gouvernement Essebsi fut la dissolution de l’ATCE. Une décision saluée même par une certaine presse qui avait profité pleinement de cette institution sous le régime de Ben Ali. Et donc, la ressource essentielle qui avait permis de faire vivre aussi bien divers journaux, maisons d’édition et imprimeries, et partant des milliers de salariés, a été pas seulement fermée mais déchiquetée, ses archives dispersées et son personnel (des sommités en matière de presse et de communication) harcelé et poursuivi, soi-disant pour avoir servi un régime despote comme s’il était (le personnel) le seul à l’avoir fait. Et du coup, la presse écrite se trouva amputée de la source même de sa survie.
Depuis le 14 janvier et encore aujourd’hui, aucun gouvernement, aucun ministre et davantage aucun des présidents de la Tunisie du «printemps» n’a accordé la moindre attention aux difficultés qu’endure la presse écrite en Tunisie. C’est, on dirait le dernier de leurs soucis, comme si une presse nationale qui fait, malgré ses tares et autres faiblesses, le prestige du pays et son aura dans le monde libre auquel il se dit appartenir, est devenue un ennemi à abattre pour que plus jamais il ne dérange. Non seulement mais Marzouki le président tout aussi provisoire que nul qu’il était n’a pas trouvé mieux que de publier un livre noir pour ternir l’image des journalistes tunisiens avec tout ce qu’ils comptent en noms prestigieux. Des noms qui ont de tous temps constitué la fine fleur de la presse en Tunisie. Non, la presse écrite tunisienne se meurt dans l’indifférence totale, sous un regard de mépris et une lâcheté criante de la part de gouvernants tels des ambulanciers qui rechignent d’apporter secours à une personne en danger. Les syndicats, associations et société civile en rapport avec le métier, ne trouvent même plus un interlocuteur valable au sein des gouvernements successifs qui les écoute. Bien sûr qu’il y a des promesses. Mais des promesses de neige qui fond au lever du soleil. Même la carte professionnelle n’est plus octroyée aux journalistes à cause d’un conflit d’autorité entre le gouvernement et le syndicat. Aussi, le journaliste tunisien n’a plus d’estime, de respect. Dans les chancelleries, à chaque fois qu’il a besoin d’un service, d’un visa, il a honte d’exhiber une carte professionnelle datant de 2013 ou 2014, devenue objet de tous les soupçons.
Quant à la presse régionale elle, elle agonise. Sur une dizaine de titres plus ou moins prospères avant le 14 janvier, ils n’en restent que deux titres qui peinent à survivre: à Sfax et à Djerba. Les autres, ceux de Sousse, Bizerte, Sidi Bouzid, Siliana et autres sont partis à jamais, laissant un vide culturel énorme, eux qui des décennies durant ont eu à entretenir une vie culturelle et une image de leurs régions dignes d’une Tunisie de son époque.
Bien sûr que l’Etat a ses propres journaux, qu’il entretiendra par les deniers de l’Etat-même pour son propre image, mais la Presse écrite privée, libre et indépendante ne sera plus dans peu de temps qu’un souvenir. Dans l’indifférence totale. Lotfi Jeriri
يتم الآن تنفيذ برنامج لإعادة تهيئة المتحف الأثري بصفاقس وتجديده. ونفهم من هذا التجديد والتهيئة كما يبدو: تهيئة القاعات مع تغيير الأرضيات والإضاءة ، وترميم كل اللوحات الفسيفسائية وتغيير بانوراما العرض. ولا يشمل هذا البرنامج في مرحلة أولى إلا قاعة واحدة من جملة أربع قاعات والعمل فيها قد يستغرق حوالي 6 أشهر. وهكذا دائما المشاريع بصفاقس ! حفنة من المخصصات المالية، وعندما زرت المتحف الأثري بسوسة ارتفع المقدار المالي إلى قرابة 10 مليارات، مع مكتب دراسات دولي، وأخصائيين كبار! وهذه التهيئة هي الثالثة في تاريخ هذا المتحف، الأولى كانت إثر أضرار الحرب العالمية الثانية من القنابل الأمريكية البريطانية، ولم يعاد فتحه إلا سنة 1955، والثاني في سنة 1966 حيث شهد إضافة ثلاث قاعات تحت إشراف الأثري اللامع محمد الفندري. اللافت للانتباه أن المتحف الأثري بصفاقس هو أقدم متحف بالمدينة يعود أنشاؤه إلى سنة 1907، كما انه من أقدم المتاحف بالبلاد التونسية إلى جانب متحف باردو وقرطاج وسوسة. والمتحف يتخذ من قصر البلدية موقعا له وقد استقر به سنة واحدة بعد تشييد هذا القصر الجذاب سنة 1906، مع الإشارة انه المتحف الوحيد بالبلاد الموجود في مؤسسة عمومية. والقصر شيد على الطراز المحلي، وأسّس منذ بنائه لمدرسة هندسية تواصلت إلى ما قبل الحرب العلمية الثانية ارتبطت بالتراث المعماري المحلي، وبالخصوص في استعمال حجر الكذال والأقواس والأعمدة والرسم على الخشب ...وهي حرف تقليدية اشتهرت بها ''بلاد العربي'' ، ومن خلالها عائلات في البناء والنقش على الحجر والخشب... والواقع أن محاولات عديدة منذ أكثر من 20 سنة أرادت تحويل هذا المتحف إلى مكان آخر أولها القصبة، وأخيرا مقر صفاقس –قفصة المغلق لتداعيه للسقوط ، وهو أيضا في قلب مدينة صفاقس، وغير بعيد عن المتحف الأثري بالبلدية. والمهم تبقى هناك حاجة ماسة إلى بعث متحف اثري جديد ومستقل وفق المواصفات العالمية ليخفف أيضا عن مخزن طينة الذي يشتمل على آثار عديدة، ويستوعب الآثار الملقاة بالمواقع الأثرية العديدة بجهة صفاقس، والاكتشافات الأخيرة التي عرفتها الجهة أيضا. والمتحف يضم أكثر من 1000 قطعة تعكس الثراء الأثري بجهة صفاقس وتصوّر ما طرأ على الجهة من أحداث تاريخية من ما قبل التاريخ إلى العصر الإسلامي، وبه قطع نادرة على المستوى الوطني على غرار النصب المأتمي من طينة، والمجموعة البلورية الرومانية النادرة، إضافة إلى عدد من اللوحات الفسيفسائية الرائعة..... ما لاحظناه على عين المكان أن فريقا من المعهد الوطني للتراث يعمل بحزم ويوظف خبرة تونسية، وسط غياب كل المؤسسات العمومية المعنية بالجهة، إضافة إلى غياب المجتمع المدني، وتحية الى المجتمع المدني بسبيطلة الذي ضغط على وزارة الثقافة والمحافظة على التراث لإعادة فتح متحف سبيطلة بعد ترميمه.وتقف التفقدية الجهوية للتراث بالساحل الجنوبي بكل جهودها وإمكانياتها المتواضعة.
قطاع المتاحف: غياب التعليم والثقافة والتطبيقات التكنولوجية والواقع أن قطاع المتاحف بصفاقس يعيش أسوا أوضاعه . أمام غياب الدور الثقافي والعلمي، ناهيك عن الدور الاجتماعي والاقتصادي، طبقا لرسالة المتاحف وأهدافها. متحف دار الجلولي يعلوه الغبار ولم يتحول منذ 50 سنة إلى قصة تدور حول المجتمع الصفاقسي متحدثة عن حرفه وعاداته وتقاليده وخصوصياته! وهو جامد منذ تأسيسه في الستينات كأول متحف للفنون والتقاليد الشعبية بالبلاد التونسية، ومحيطه بائس. ومتحف العمارة التقليدية بالقصبة على حاله منذ 20 سنة! رغم أن الديناميكية والعرض الدوري والأنشطة الثقافية من أبجديات العمل المتحفي. ومازلنا على بعد سنوات ضوئية! إذا فكرنا في تطوير خدمات هذه المتاحف وفقا للتطبيقات التكنولوجية الحديثة، وإقامة قسم تعليمي لان أهم أهداف المتاحف نشر الوعي الثقافي لدى الناشئة وذلك من خلال مجموعة من الأنشطة التعليمية والثقافية، وبعث قاعات للمكتبة ولبيع الكتب والنماذج التاريخية وللندوات العلمية التي تعتمد على نظام جديد في عرض المعلومات لتصبح المتاحف مراكز للإشعاع الفكري ومقصد ا للزوار الغائبين حاليا.
En seulement en 5 ans d’exercice, Casablanca Finance City (CFC) a réussi à devenir la première place financière d’Afrique et une des places les plus prometteuses dans le monde, dépassant de loin la place financière de l’Afrique du Sud. C’est ce que révèle le classement du cabinet Z/Yen Group, basé à Londres, sur l’indice des centres financiers mondiaux (Global financial centers index – GFCI). Toujours selon le classement GFCI, la place de la capitale économique marocaine occupe la 33ème place à l’échelle mondiale et serait considérée comme le 3ème centre le plus prometteur au monde, juste après Singapour et Shanghai. Cette performance a été expliquée par ses prouesses en termes de collaboration.
من أين انطلق ربيع الثورات ....تذكرت هذا عندما تساقطت الحكومات وتمزقت الدول العربية ...سمّوها ربيعا ولعبوا فيها كما شاء ضميرهم...
تذكرت هذا عندما سعوا...في سفينة الجزيرة الحربية ... تغيرت الصورة...كانوا ينفخون في النار..وتذكرت ... ... صحيح أنّها.. "الجزيرة" ...كانت الثكنة الأولى ...اكذب ..اكذب ...اكذب .حتّى يصدّقوا... أين هي اليوم..لماذا سكتت ..واختفت .. ..نسوا أنّ الأطلسي ليس له عواطف ...ولا ذمّة ...والدّول الكبرى حسابها آخر..استراتيجيا ولهفة وطمع في قدرات الدول العربية رغم رضوخها.. ومع ذلك هاهي تعاني ...ليبيا ..سوريا...اليمن...مصر وتونس... كم عربي قتل...كم عربي جرح...وكم عربي هاجر...وفروا كل الأجواء لإسقاط السماء على رؤوسنا ...لمصلحة من؟؟؟ ..ونفير المقيمين بالوشاية...حوانيت مخابرات...من كل لون ومن دولة.. وهاهي داعش تقتنص الزلازل في أرض رخوة... سيارات رباعية من اليابان وصواريخ...وسكاكين الذبح وتخريب العقل ...كابوس لا يقبله حتى غافل...داعش تنقلت في كل مكان ولا ننسى ما قالته هيلاري كلينتون " نحن من صنعنا داعش" صنعوا داعش ويبدو أنّ الرعونة تطلّ بقرنها "داعش الظلمة" لأنّ ارتداد هؤلاء الذين صنعوهم سيلتفون عليهم ويضربون في قلب عواصمهم...