ختم رئيس الجمهورية الباجي قايد السبسي يوم الثلاثاء 24 أكتوبر 2017 وذلك إثر ورود إحالة في هذا الشأن من الهيئة الوقتية لمراقبة دستورية مشاريع القوانين تضمّنت عدم حصول الأغلبيّة المطلقة لاتخاذ قرار في الغرض.ويهدف هذا القانون الذي صادق عليه مجلس نواب الشعب يوم الاربعاء 13 سبتمبر 2017، إلى تهيئة مناخ ملائم يشجع على تحرير روح المبادرة في الادارة والنهوض بالاقتصاد الوطني و.ويتمتّع بالعفو العام الموظفون وأشباههم الذين تمت مؤاخذتهم على أفعال متصلة بمخالفة التراتيب أو الأضرار بالإدارة لتحقيق منفعة لا وجه لها للغير، ويُستثنى من كانت الأفعال المنسوبة اليهم تتعلق بقبول رشاوي أو الاستيلاء على أموال عمومية.
الحدث : قدم رئيس الجمهورية قيس سعيد، بمشروع قانون أساسي يتعلق ''باقرار صلح لاسترجاع المال العام بهدف خدمة التنمية"، وفق ما افادت موزاييك الجمعة .و تنص النسخة الأولى من المشروع، على أنه ينتفع بالصلح كل من حكم عليه أو كان محل تتبع قضائي في تاريخ صدوره من أجل أفعال تتعلق بالاعتداء على المال العام أو الإضرار بالإدارة بمختلف صوره باستثناء ما حصل منها باستعمال القوة والسلاح او التهديد.وينص مشروع القانون، على إحداث ''لجنة وطنية للصلح'' تحت إشراف رئاسة الجمهورية، تضم 3 قضاة عدليين من الرتبة الثالثة الأقدم في خطة رئيس دائرة في محكمة التعقيب، 3 قضاة عدليين الأقدم في خطة رئيس دائرة تعقيبية، و3 قضاة ماليين الأقدم في خطة رئيس دائرة استئنافية.وتهدف اللجنة إلى وضع آليات التشجيع على الاستثمار والنهوض بالاقتصاد الوطني من خلال اقرار اجراءات استثنائية لاسترجاع المال العام أو التعويض على الضرر الحاصل لادارة بأي وجه كان وتوظيف متحصله لإنجاز مشاريع تنموية، ممكنا من دفع كامل المبالغ التي تحددها اللجنة كتعويض على الأضرار التي لحقت الإدارة، أو من إنجاز مشروع أو مشاريع تتعلق بالمصلحة العامة وتغطي كلفتها مبلغ الصلح. وسيُفتح لدى الأمين المال العام للبلاد التونسية، "صندوق الصلح من أجل التنمية" ، ويتم احداث لجنة في كل ولاية تضم رؤساء المصالح الجهوية ورؤساء البلديات وممثل عن كل جمعية معنية بالشأن المحلي، إضافة لممثلين عن متساكني الولاية المعنية عبر جمع تزكيات (1000 تزكية ولا يتجاوز عدد الممثلين 5)، وفق نفس المصدر .
0 دارت اليوم الجمعة 23 اكتوبر 2020 سحب عملية القرعة الخاصة برزنامة بطولة الرابطة المحترفة الأولى للموسم الرياضي 2021/2020 بقاعة الندوات بدار الحكم بالجامعة التونسية لكرة القدم و التي اسفرت عن النتائج التالية والتي ستكون جولتها الافتتاحية علي النحو التالي-النادي الصفاقسي /الإتحاد الرياضي المنستيري -النادي البنزرتي / النجم الساحلي -مستقبل الرجيش / إتحاد تطاوين -نجم المتلوي / إتحاد بن ڨردان -الترجي الرياضي / مستقبل سليمان -معوض هلال الشابة / النادي الإفريقي -الملعب التونسي / الأولمبي الباجي
Cette photo avec Sid-Ahmed remonte à 1995; il était venu comme à l'accoutumée passer le week end chez moi dans la banlieue sud de Paris, une région qu'il aimait beaucoup. Nous étions à l'époque des exilés politiques. C'était un grand ami auprès duquel j'ai beaucoup appris sur l'histoire de notre pays, sur la lutte pour l'indépendance, sur le syndicalisme, sur Bourguiba, sur l'opposition de gauche, sur la Ligue des droits de l'homme, sur les patriotes, sur les traîtres, sur la poésie arabe... et bien d'autres leçons précieuses et mémorables. Que la Miséricorde l'accompagne à jamais.
J'ai beaucoup de respect pour cette dame, mais je suis étonné qu'elle donne cette version erronée du sujet . Primo les professionnels du Tourisme n'ont jamais eu un poids quelconque dans les décisions du gouvernement, secundo elle sait pertinemment que les quelques touristes Européens que nous avions reçu, étaient quasiment confinés dans leurs Hotels avec un protocole covid largement respecté, reste le cas de nos compatriotes résidents à l'étranger , qui dans leur majorité ont rejoint leurs familles sans respect pour le protocole sanitaire mis en place pour le Tourisme hôtelier. Décidément quand on veut noyer son chien ,on l'accuse de rage...
La Presse: L’économiste propose d’engager trois actions phares en vue de dynamiser l’économie sur le court terme, à savoir l’adoption du projet de loi de relance économique soumis à l’examen du Parlement, la conclusion d’une vingtaine de pactes de compétitivité sectoriels et l’élaboration d’un pacte bancaire entre le gouvernement, la BCT et les banques.
«S’il est normal qu’un pays qui traverse une transition démocratique connaît des difficultés, qui sont encore aggravées par la crise du Covid-19, la durée de ce cycle bas est anormale. Dans les transitions réussies, le cycle bas dure entre 4 et 6 ans. Nous sommes à notre 10ème année de transition et, à défaut de relance vigoureuse et rapide, le scénario grec, voire libanais, guette l’économie tunisienne. Il ne faut pas croire que nous sommes à l’abri d’un tel scénario si des actions vigoureuses ne soient pas mises en place. La Tunisie aujourd’hui n’a plus droit à l’erreur», a mis en garde l’ancien président du Conseil des Analyses Economiques (CAE), M. Afif Chelbi, dans son intervention lors du débat en ligne qui a été organisé, récemment, par l’Institut des hautes études de Tunis (Ihet).Agir vite pour éviter l’explosion socialeL’économiste a souligné que même si, sur le plan budgétaire, les marges de manœuvre sont faibles, il est, néanmoins, urgent de réagir rapidement et efficacement, moyennant une gestion “adéquate des deniers publics”. Les marges de manœuvre sont encore plus grandes au niveau des politiques monétaire et sectorielles où les pouvoirs publics peuvent, largement, agir, a-t-il fait savoir. «Faute d’une telle action vigoureuse et rapide, la variable de l’ajustement sera l’explosion du chômage et de la précarité, déjà enregistrée au cours du premier semestre avec toutes les conséquences qu’aurait un tel choc social sur la stabilité du pays», a ajouté M.Chelbi, tout en soulignant que la crise liée au coronavirus aura accéléré fortement la désindustrialisation du pays, constatée depuis 2011. Un fait qui a, désormais, démontré de très lourdes conséquences sur le marché du travail, d’autant plus que selon les chiffres de l’INS, deux tiers des emplois perdus, suite à la crise sanitaire déclenchée au mois de mars 2020, concernent le secteur industriel. C’est dans ce contexte, que l’ancien président du CAE a mis l’accent sur l’émergence d’un nouveau type de chômage en Tunisie, celui des personnes qui possèdent déjà un emploi stable. «C’est un chômage beaucoup plus difficile à gérer que celui des primo-demandeurs d’emploi», a-t-il commenté.Adopter la loi de relance économiqueUne fois le diagnostic établi, l’économiste n’y est pas allé par quatre chemins pour révéler sa vision de la relance : prendre, dans un premier temps, le plan de relance élaboré par l’ancien ministre des Finances, M. Nizar Yaïche, comme base et ne pas partir de zéro; le facteur temps étant déterminant dans la riposte économique du gouvernement. «Le plan de relance est une base. Plusieurs centaines d’heures de concertation ont été dépensées, à cet effet. Certainement, il y a des imperfections qu’il faut corriger. L’instabilité gouvernementale a empêché l’adoption du volet législatif du plan et a fait que sa mise en œuvre soit faible, voire bloquée», a-t-il précisé. A cet égard, il a cité des exemples de mesures et de mécanismes, dont la mise en œuvre a beaucoup tardé, comme le fonds de restructuration financière des entreprises (qui n’a touché qu’une dizaine d’entreprises), la garantie de l’Etat des crédits accordés aux entreprises sinistrées par la crise du coronavirus (qui n’a été débloquée que tout récemment) et le mécanisme de la bonification de 3% du taux d’intérêt bancaire TMM (qui a été décidé en 2019, mais qui n’est pas toujours activé). Outre l’adoption de la loi de relance économique, M. Chelbi a appelé à agir sur deux volets: le premier concerne les politiques sectorielles. Il a affirmé, à cet égard, que les plans de relance sectoriels peuvent contenir un nombre important de mesures non budgétaires qui, une fois adoptées, vont débloquer et dynamiser plusieurs secteurs. «L’ancien ministre des Finances a engagé des concertations sur des plans de relance sectoriels sous forme de pacte de compétitivité. Jusque-là, 6 pactes ont été élaborés. Si on arrive, d’ici à la fin de l’année, à signer 20 pactes portés par les secteurs et approuvés par le gouvernement, ce sera un levier important de relance. Dans le contexte politique très perturbé, il faut que la relance soit portée par les secteurs et il y aura un effet de levier», a expliqué l’économiste.Un pacte bancaire entre le gouvernement, la BCT et les banquesLa deuxième action qu’il faut engager, selon M. Afif Chelbi, serait d’élaborer un pacte bancaire entre le gouvernement, les banques et la Banque centrale de Tunisie, et ce, compte tenu de l’importance du rôle de la politique monétaire dans la relance économique. «Le pacte bancaire n’est pas du tout contradictoire avec l’indépendance de la BCT, parce que dans tous les statuts des banques centrales, y compris celui de la BCT, l’aspect intérêt national et intérêt de l’économie nationale est pris en compte, à côté de la lutte contre l’inflation. Sans parler des pratiques utilisées partout dans le monde, où beaucoup de dogmes ont été dépassés par la Banque centrale», a-t-il souligné. Il a précisé que le pacte en question comporte trois axes. Premièrement, le rachat effectif et massif par la Banque centrale des créances des entreprises publiques et privées. Un mécanisme, précise-t-il, qui a été actionné auparavant et qui «pourrait sauver des centaines de PME qui sont aujourd’hui en quasi faillite par la faute de l’Etat, mauvais payeur». Deuxièmement, la mise en place d’une ligne de crédits PME de 3 à 5 milliards de dinars bonifiés à 3% pris en charge par l’Etat, et qui aurait une forte conditionnalité à imposer par la Banque centrale aux banques. Un autre mécanisme qui a été mis en œuvre pendant des dizaines d’années et qui a porté ses fruits au niveau du financement et de la restructuration financière des entreprises, a-t-il indiqué. Troisièmement, le pacte doit inclure un type de ratio d’activités prioritaires.Oui pour le financement du FMI, non à une politique émanant 100% de la matrice FMIA une question qui a été posée sur le recours (ou non) au financement du FMI, M. Chelbi a indiqué qu’il s’agit d’un impératif, dans la mesure où cette institution constitue le chef de file de tous les bailleurs de fonds internationaux. Cependant, la conception des politiques économiques incombe au gouvernement tunisien, a-t-il souligné. «On doit avoir recours au FMI, nous n’avons pas le choix. Si on ne signe pas avec le FMI, on se coupe de tous les financements internationaux. La question qui se pose à côté de la signature de l’accord avec le FMI, c’est la mise en place (et le FMI ne nous en empêche pas) des instruments de politique économique et sectorielle très détaillée. C’est notre boulot à nous Tunisiens. La principale erreur que nous avons faite depuis 10 ans, c’est de penser que la matrice avec le FMI est égale à 100% de la politique économique. La politique économique est beaucoup plus complexe. Ce n’est pas au FMI de tracer les détails de notre politique économique, il trace des balises, des ratios à respecter. Le gouvernement doit investir dans la conception détaillée d’une politique économique, en faisant attention, dès le départ, à la mise en œuvre, et c’est ça qui manque», a-t-il conclu.
Le Président de la République du Liban a de nouveau chargé Saad Al Hariri de la constitution du Gouvernement. Celui-ci a déclaré que son Gouvernement sera constitué de Techniciens non hors partis politique.
فى الوقت الذى ينتشر فيه الوباء بشكلٍ مفزع ويعيش فيه المواطن التونسي مهما كان انتماءه الاجتماعى حالة من الارتباك والخوف يتواصل التصعيد السياسي من كل الجهات وتظهر ازمات اخرى قد تزيد الوضع العام فى البلاد تعقيداالمطلوب من الجميع وضع مصلحة البلاد فوق كل اعتبار بدءا بالمؤسسات العليا للوطن التى عليها ان ترسى الحد الادنى من التوافق بينها وتكف عن تعميق الخلافات التى اصبحت غير خافية على احد حتى تبعث موجات ايجابية لدى ساءر المواطتين فيقتنعوا بان مؤسسات البلاد جنحت اخر المطاف نحو التوافق من اجل المصلحة العليا للبلاد واضعة اياها فوق كل اعتبارهذا الشعور لو قدر له ان ينتشر بين المواطنين فانه وقعه الايجابى سيكون هاما للغاية لانه سيمكننا من دعم الالتفاف حول الدولة وقبول مزيد من التضحية الجماعية علىى امل ان نتمكن من تدارك الوضع الصحى والسياسي والاجتماعى والاقتصادى الصعب الذى نعيشهمواصلة التجاذبات والاستمرار فى الخلافات التى نعيشها يوميا والتى تنقل للمواطن عبر وساءل الاتصال الاذاعية والتلفزية وحتى عن طريق وساءل الاتصال الاجتماعى ستضرب وحدتنا وتضعف دولتنا مما قد يؤول بنا جميعا لا قدر الله الى نكبة لا تحمد عقباها تونس باتت تحتاج الى وعى ووطنية كل ابناءها. وعلى نخبها والعقلاء ان يبدؤوا باعطاء المثل فى كل القطاعات ولا استثنى اى قطاع بما فيه مهنة المحاماة التى على هياكلها وشيوخها ادارة الازمة الحالية بوعى وتبصر وتجنب مزيد من المصادمات التى تضر ولا تنفععلاقة سلك المحامين ببقية الاسلاك المنتمية للمنظومة القضائية لا يمكن ان تكون الا علاقة ثقة و تفهم من كل الاطراف ولا بد من وضع حد للتصعيد الذى تباشره بعض الاطراف المغرضة التى تريد اشعال نار الفتنة فى كل بيتالان مازالت هنالك فسحة من الامل للتدارك لو توفر وعى جماعى لكن الوضع قد يصبح غير قابل للتدارك فى الايام القريبة المقبلة لو واصلنا هذا التسيب والامثلة موجودة فى اوطان شقيقة قريبة منا وبعيدة خسرت كل شىء نتيجة خلافات ابناءها وتعنتهم ورفض كل شق للاخرLikeCommentShare